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lundi 20 juin 2011

Le Livre de poésie de Valérie vient de paraître

Un livre de poésie sous le pseudonyme de "Lise Anne" vient de paraître aux "Éditions Amalthée". Il s'agit d'un premier ouvrage intitulé :

Autopsie d'une Vie
Autopsie d’une vie car, tout comme pour une autopsie médicale, Lise Anne tente d’analyser, de décortiquer, les événements, les phénomènes de société, l’affectif …    auxquels l’on peut être confronté tout au long d’une vie.
Les sentiments sont comme un vent qui nous transperce. Ils peuvent nous bousculer, nous faire trembler et parfois nous faire tomber. Mais ils sont également un rappel perpétuel de la vie. Affronter ses sentiments, c’est se donner les armes pour l’avenir.
Lise Anne est née et a grandi dans une petite ville du Nord. Mère au foyer mais également jeune grand-mère depuis peu, elle fut une enfant réservée, sensible, la tête dans les nuages … qui aime profondément la nature. L’écriture lui permet d’extérioriser sa sensibilité.
Voila comment l'auteur de ce merveilleux premier ouvrage se présente. Mais, tellement elle est timide, qu'elle a omis, étant hésitante et réservée, de signer son œuvre sous ses vrais noms et prénoms.
Bravo Lise Anne Valérie ATEB, née BROCART. Je suis fier de t'avoir comme belle-fille.

samedi 14 mai 2011

Mon Commentaire sur ce qui se passe en Libye

Les Responsables Italiens mentent comme ils respirent. Alors que le général italien Claudio Gabellini et le ministre des Affaires étrangères, Franco Frattini, tenaient des propos mensongers sur le sort de Kadhafi, ce dernier paraissait en bonne santé en démentant, lors de son apparition télévisée le 11 mai dernier, les propos des deux personnalités italiennes.
Frattini, s'appuyant sur des soi-disant déclarations de l'évêque de Tripoli selon lesquelles Kadhafi serait blessé et/ou en fuite, a été même démenti par l'évêque de Tripoli en question, Mgr Giovanni Martinelli qui disait n'avoir pas tenu de tels propos : "Ce qu'a dit le ministre des Affaires étrangères n'est pas vrai parce que je n'ai jamais dit que le leader libyen était blessé", "ni qu'il était parti de Tripoli".
En plus, contrairement aux buts supposés de la résolution 1973, les bombardements de Tripoli par l'Otan ont fait plusieurs morts, parmi lesquels deux journalistes, ainsi que des blessés civils et des destructions très importantes, alors que la mission était de protéger les civils.
Aujourd'hui, la Libye s'apprête à enterrer 11 imams tués par une frappe aérienne de l'Otan à Brega le jeudi dernier, ce qu'a regretté l'Alliance atlantique, semble-t-il. Le bombardement en question a fait en tout 16 morts et au moins 50 blessés, dont cinq sont dans un état grave, d'après le porte-parole du gouvernement libyen, Moussa Ibrahim, lors d'une conférence de presse.
Dans un communiqué, l'Otan a expliqué avoir touché un centre de commandement et de contrôle tôt vendredi, précisant qu'il était utilisé par le régime pour "coordonner des frappes contre la population civile".
L'Otan se contente ainsi de rapporter ses actions dévastatrices sans même s'excuser des dégâts humains en la perte de civils dont il est l'auteur.

vendredi 29 avril 2011

Tunisiens, soyons sérieux, bannissons ensemble l'insécurité

Je suis entièrement d'accord avec les propos du premier ministre, M. Béji Caïd Essebsi sur la question sécuritaire, qui a lancé mardi 26 avril dernier lors d'une conférence de presse, un cri d'alarme pour que cessent les "dépassements inacceptables".
Nous sommes tous concernés par son appel urgent et ferme. Tous les Tunisiens doivent condamner les agissements intolérables et se doivent de repousser toutes ces tentatives de déstabilisation. Il est du devoir de chacun de contribuer à la restauration de la sécurité et de la paix sociale pour que la Tunisie puisse retrouver son havre de paix, de tranquillité et de sérénité. Nous ne voulons pas d'une guerre civile qui fera suite à la Révolution, mais nous avons besoin d'une démocratie prenant en compte les aspirations légitimes du peuple tunisien. Il faut empêcher et contrer tous ceux qui se mettent en travers de la réalisation des objectifs de la révolution après la victoire du 14 janvier et tentent d'entraver son avancée. Le pays a besoin d’avancer et de résoudre les vrais problèmes.
Comme l'avait martelé le premier ministre, la situation sécuritaire demeure encore préoccupante. Des abus se font de plus en plus nombreux de la part de certaines franges de la population, qui, sous prétexte de la révolution et de la liberté d’expression, ne cessent de créer des entraves à la vie économique du pays par des sit-in et des grèves sauvages à répétition. D'autres défis majeurs se posent à la Tunisie qui est confrontée à la fois, à des problèmes politiques, sécuritaires et économiques. La situation exige de chaque tunisien de bloquer les entraves de quelques anarchistes irresponsables qui veulent que le pays aille droit dans le mur.
N'oublions pas que nous sommes étroitement surveillés de par le Monde qui guette nos mouvements pour juger de notre capacité à entamer une vraie démocratie basée sur l'intelligence créative et non la démagogie destructive que préconisent certains en se basant sur des attitudes politiques et rhétoriques visant à essayer de dominer le peuple en s'assurant ses faveurs et en feignant de soutenir ses intérêts.
Pour réussir, il faut empêcher que, dans certaines entreprises importantes par leur rendu à la population, des grèves et des blocages se multiplient nuisant ainsi à la stabilité de notre pays qui cherche à attirer les investisseurs étrangers. Nous devons encourager les investisseurs, aussi bien tunisiens qu'étrangers pour leur faciliter les conditions nécessaires à la réussite de leurs projets. Parfois, certaines autoroutes et même des lignes de chemins de fer se trouvent bloquées par des manifestants pour des raisons souvent futiles.
Notre aspiration commune doit rester la préservation des acquis de la révolution en décourageant, par le dialogue et la concertation, certains de nos compatriotes inconscients de ne plus commettre des actes délictuels car, c'est tout le peuple tunisien qui doit assumer ses responsabilités et dénoncer la surenchère et la violence et à repousser toute tentative de déstabilisation en contribuant à la restauration de la sécurité et de la paix sociale.
N'oublions pas que notre économie souffre de plein fouet du manque de touristes qui hésitent encore à voyager dans notre faute de stabilité. Il faut donc doper sérieusement le tourisme, notre principale source d'économie.
Respectons ceux qui ont donné leurs vies pour la liberté et la dignité et osons faire de la Tunisie un pays précurseur dans les pays arabes de la démocratie pragmatique.
Je ne peux terminer sans citer :
Pierre Mendès France qui disait "La République doit se construire sans cesse car nous la concevons éternellement révolutionnaire, à l’encontre de l’inégalité, de l’oppression, de la misère, de la routine, des préjugés, éternellement inachevée tant qu’il reste des progrès à accomplir."
Mahatma Gandhi qui lançait "Je m'oppose à la violence parce que lorsqu'elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n'est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent."
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vendredi 4 mars 2011

Kadhafi promet un nouveau Vietnam

Nous devons tous réagir au génocide perpétré par ce Guedhafou contre son peuple
Face à la contre-offensive des pro-Kadhafi, les insurgés réclament, depuis un certain temps, aux Occidentaux des frappes aériennes pour les protéger, même si cette option est loin de faire l'unanimité dans la communauté internationale qui se veut toujours extrêmement prudente et souligne les risques liés à une telle intervention. Alors que, Mouammar Kadhafi, dans son troisième discours, il avait promis que "Des milliers de Libyens mourront en cas d'intervention militaire de l'Amérique ou de l'Otan", promettant au passage "un enfer et une mer de sang pire que l'Irak ou l'Afghanistan": "Nous distribuerons les armes par millions et ce sera un nouveau Vietnam" a ajouté Kadhafi qui a redit qu'il ne partirait pas, ne pouvant démissionner, puisque le pouvoir appartient "au peuple".  Kadhafi a déjà tué plus de 6.000 personnes depuis le début de la révolte, dont 3.000 dans la capitale Tripoli, d'après des renseignements de la Ligue libyenne des droits de l'homme.

Les révolutionnaires, par la voie d'Abdelhafez Ghoqa, porte-parole de l'insurrection a déclaré que "Le Niger, le Mali et le Kenya envoient des troupes en Libye". Il ajoute "Nous appelons les Nations unies et tout pays qui soutient la Révolution du 17 février à lancer des frappes aériennes sur les sites et positions des mercenaires dont il est clair qu'ils sont utilisés contre les civils et le peuple libyen". Mais, clarifiant la position de la requête des insurgés, il déclarait "que toute présence étrangère en Libye était inacceptable et serait vigoureusement combattue. Il y a une différence entre des frappes aériennes stratégiques sur les positions de ces mercenaires et la présence de forces étrangères sur le sol libyen".
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lundi 28 février 2011

Les libyens doivent faire attention. Pas d'ingérence étrangère

Attention aux vautours !!
Le Conseil de sécurité a adopté samedi à l'unanimité une résolution imposant des sanctions sévères au régime de Mouammar Kadhafi, à sa famille et à des proches du régime. Parmi ces sanctions adoptées par les quinze États membres, figurent un embargo sur la vente d'armes et de matériels connexes à la Libye et une interdiction de voyager sur le sol des États membres concernant seize personnes, dont Mouammar Kadhafi, sept fils et sa fille et des personnes intimement liées au régime.
Certains pays ont proposé des mesures plus drastiques contre la Libye. Parmi les propositions examinées figurent la création d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye, des interdictions de voyager et le gel des avoirs du clan Kadhafi.
Comme je l'avais précédemment indiqué, au cas où ces dernières mesures s'appliqueraient, cela veut dire que la Libye sera traitée un Irak bis et qu'il y aura une occupation étrangère dont les États Unis seraient les principaux instigateurs et profiteurs. Ceci doit être refusé catégoriquement par les Libyens qui ne veulent pas que leur pays leur échappe.

Car déjà, d'après des informations, les États-Unis et l'Union européenne auraient pris des contacts avec les insurgés et leur proposent de leur offrir leur aide, malgré le démenti des intéressés. Ce qui sur, c'est que les Usa sont entrain d'étudier avec leurs alliés européens les actions possibles à mener comme l'avait déclaré à  Washington Hillary Clinton qui avait déclaré que son pays est "prêt" à fournir "toute forme d'aide" aux opposants au régime de Kadhafi. D'ailleurs actuellement elle se trouve à Genève, où elle est arrivée hier dimanche,  pour préparer "l'après-Kadhafi" avec ses collègues européens et certains pays arabes.


Il est temps pour les Libyens, et notamment les militaires, de réagir pour renverser ce tyran sanguinaire par tous les moyens et surtout de surveiller les installations et les édifices du pays en sécurisant tous les accès sensibles. Il ne plus quoi faire. Il accuse même, sans gêne, Ben Laden de "manipulation" et d'être derrière ces manifestations. En même temps, ne cédez pas à ceux qui voudront utiliser la force contre Kadhafi car leur raison est autre  que la défense des Libyens.
Ne détruisez surtout pas les documents et n'incendiez pas les bâtiments et les édifices publics.
Nous sommes tous des Soutiens au peuple libyen contre son fou de sanguinaire et les chacals qui rodent autour de leur pays!
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dimanche 27 février 2011

Le gouvernement tunisien, confronté à une crise de confiance

Le gouvernement transitoire tunisien est confronté à une grave crise de confiance. Des manifestants ne cessent de réclamer sa démission au vue de l'absence d'une véritable stratégie politique alors qu'il vient d'annoncer le calendrier des élections de l'après-Ben Ali.
Face à cette situation, des manifestations grandioses ont eu lieu notamment le vendredi dernier sur la Place de la Kasbah et sur l'avenue Habib Bourguiba et étaient bien organisées d'après ce que nous avons entendu de la bouche d'un organisateur. Il est naturel que les citoyens protestent pour s'exprimer sur les sujets d'avenir de la nation. Mais, les manifestations doivent être pacifiques et bien encadrées pour qu'il n'y est pas de débordements
Ce qui s'est passé ce jour là, au cours d'une grande manifestation à Tunis ayant rassemblé entre 50 000 et 100 000 personnes mobilisées pour réclamer le départ du gouvernement transitoire dirigé par Mohammed Ghannouchi, vingt-et-un policiers ont été blessés et au moins trois commissariats incendiés ou saccagés lors des heurts avec des manifestants qui ont attaqué le ministère de l'Intérieur.
Ce dernier, dans un communiqué, a fait état de trois commissariats, proches du siège du ministère de l'Intérieur, situés en pleine avenue Habib Bourguiba, ont été partiellement incendiés ou saccagés, ainsi que deux grands magasins et plusieurs voitures ont été endommagées. Selon le ministère, l'attaque du siège du ministère de l'Intérieur vendredi en fin d'après-midi est l'œuvre "de groupes de jeunes, en majorité des lycées et des étudiants". "Nous appelons les parents à décourager leurs enfants de participer à ce genre de manifestations, à les inciter à reprendre les cours et à tout faire pour éviter qu'ils servent de boucliers humains à des groupes de malfaiteurs".
"Les élèves doivent reprendre les cours et à tout faire pour éviter qu'ils servent de boucliers humains à des groupes de malfaiteurs", conclut le communiqué.
Outre ces graves incidents de Tunis, d'autres actes criminels ont été commis à Kasserine où des bâtiments ont été saccagés et pillés et des voitures brulées. Ceci est intolérable et doit être réprimé avec force car, ce sont nos institutions et notre économie qui sont les victimes d'une bande de truands dirigés par une main étrangère.
Je suis très indigné devant ces actes odieux commis par des gens qui saccagent et incendient des édifices publics ou privés. Je crois que la rue na pas vocation à dicter la politique du gouvernement car face à cette confusion, n'importe qui peut demander n'importe quoi.
Tout le monde sait que depuis la fuite en Arabie saoudite de Ben Ali, un gouvernement de transition dirige le pays avec à sa tête l'ancien Premier ministre Ghannouchi et comprenant des membres de l'ex-opposition. C'est un gouvernement de transition. Cette situation provisoire ne donne pas droit à quiconque de jouer avec nos acquis.
Je suis d'avis avec ce qu'avait dit le magistrat Mokhtar Yahyaoui, "les revendications politiques doivent s'exercer au sein des institutions politiques et non dans la rue". "Les manifestants font du chantage, ou bien le gouvernement tombe ou ils bloquent le pays, ce n'est pas la démocratie".
Les manifestants, selon lui, "sont bien organisés politiquement et financièrement, il y a des gens bien structurés derrière eux, qui travaillent avec un agenda politique et leur intérêt est de semer le chaos".
"Ils ont supporté le régime de Ben Ali pendant 23 ans et maintenant ils sont incapables d'attendre quelque mois, ce n'est qu'un gouvernement de transition", ajoute le magistrat, soulignant que "le gouvernement a échoué à établir une relation de confiance avec les citoyens" et estimant qu'il "aurait du demander l'extradition de Ben Ali et son épouse dès le début".
Notre Tunisie doit être stable, sans intervention étrangère
Chers compatriotes, attention, des mains étrangères rodent dans les parages et pourraient kidnapper la belle révolution ainsi convoitée. Ne laissez pas la victoire du 14 janvier vous échapper et n'oublions pas nos martyrs. Ne vous fiez pas aux meneurs inconnus ni à leurs slogans qui visent à déstabiliser le pays et faire régner le chaos.
Nous ne voulons d'aucune ingérence dans nos affaires internes. Les Tunisiens sont assez intelligents pour ne pas se laisser prendre. Voila justement ce dont les Tunisiens n'ont pas besoin. Il ne faut nullement pas que la révolution courageuse du peuple tunisien soit détournée par des "intérêts étrangers". Mais, si nous continuons dans la détermination de "la politique du tout ou rien", nous risquerons de perdre cette belle victoire.
Il faut savoir que notre économie a assez perdu ces dernières semaines et qu'il est grand temps de se remettre au travail. D'autant que notre révolution est bénéfique aux autres pays arabes tels que l'Égypte ou la Libye et les autres.
Arrêtons ces saccages et pillages organisés. Il ne faut pas non plus céder à la panique. Le gouvernement doit être le garant de la sécurité et des biens en Tunisie. Évitons les chaos et la gabegie. Ne cédons pas aux provocation au désordre
Je souhaite que toutes ces bandes hors la loi soient rapidement maitrisées et traduites devant la justice.
Reprenons maintenant le travail pour assurer l'économie tunisienne
Vive la Tunisie libre.
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Analyse et Synthèse d'Abdel Hakim ATEB

samedi 26 février 2011

La Tunisie encore sous pression

Alors que le gouvernement Ghannouchi annonçait aujourd'hui la tenue d'"élections libres au plus tard mi-juillet" et qu'en Libye la contestation au régime de Khadafi s'étend désormais vers Tripoli, les Tunisiens continuent, ce vendredi, de battre le pavé pour défendre "leurs révolutions".
Certains médias ont annoncé le chiffre de 50 000 manifestants ou plus se sont rassemblé à la Kasbah pour réclamer le départ du gouvernement de transition dirigé par Mohammed Ghannouchi. Selon certains, il "s'agit de la plus grande manifestation depuis la chute de Ben Ali", le 14 janvier. Les manifestants son,t venu avec des slogans tels que "Ghannouchi dégage", "Honte à ce gouvernement", ou encore "Révolution jusqu'à la victoire". En fin de journée, les forces de l'ordre ont procédé à plusieurs tirs de sommation à Tunis pour disperser les manifestants.
D'après certaines informations, quelques autres manifestants se sont dirigé vers l'Avenue Bourguiba où est située le ministère de l'Intérieur et ont mis le feu à certains endroits. Ils cassaient également des pots de fleurs pour en faire des projectiles pour les jeter en direction du ministère de l'Intérieur.
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vendredi 25 février 2011

Kadhafi agite le spectre de Ben Laden

Les libyens ne veulent pas d'une ingérence étrangère
Alors que Kadhafi continue d’agiter le spectre du "terrorisme international" de manière plus précise accusant nommément Oussama Ben Laden de "manipuler" les Libyens, la communauté internationale accentue la pression sur ce "Guide la Révolution" devenu fou. L'Otan et le Conseil de sécurité de l'Onu se sont réuni en urgence, Paris et Londres ont de leur côté proposé un projet de résolution commun pour demander des sanctions.
Barack Obama a appelé Nicolas Sarkozy jeudi soir à propos de la Libye et les deux présidents ont de nouveau exigé ensemble "un arrêt immédiat de l'usage de la force", a annoncé l'Élysée, ajoutant que la France souhaitait une nouvelle réunion urgente du Conseil de sécurité de l'ONU.
Certains ont déja proposé des mesures plus drastiques. Parmi les propositions examinées figurent la création d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye, des interdictions de voyager et le gel des avoirs du clan Kadhafi, ont indiqué des diplomates.
Si ces dernières mesures s'appliqueraient, cela veut dire que la Libye sera traitée en Irak bis et qu'il y aura une occupation étrangère dont les États  Unis seraient  les principaux instigateurs et profiteurs. Ceci doit être refusé catégoriquement par les Libyens qui ne veulent pas que leur pays leur échappe.
L'un des premiers pays à s'être opposé à des sanctions pareilles contre le régime libyen est la Turquie. D'autres doivent suivre son exemple et refuser toute ingérence étrangère en Libye.
Quant à Mouammar Kadhafi, je pense qu'il se suicidera "comme Hitler l'a fait", tel que l'avait prédit son ex-ministre de la Justice M. Moustapha Abdel Jalil car "Les jours de Kadhafi sont comptés. Il va faire comme Hitler a fait, il va se suicider", avait précisé M. Jalil.
Aujourd'hui, le gouvernement libyen a annoncé une hausse des allocations et des salaires de certains fonctionnaires de 150% ! Sur quelle base l'a-t-il fait et qui seraient ces certains fonctionnaires bénéficiaires? Une Hausse de 150% des salaires est-ce une intox?
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lundi 21 février 2011

Kadhafi fils menace les opposants de «rivières de sang»

UNE "NOUVELLE LIBYE" OU "LA GUERRE CIVILE"
Seïf Al-Islam Kadhafi (en arabe veut dire  "Le sabre de l'islam") , le fils ainé de Mouammar Kadhafi, a affirmé hier soir 'Dimanche 20 février 2011) à la télévision que le peuple libyen devait choisir entre construire une "nouvelle Libye" ou plonger la Libye dans la "guerre civile", tout en promettant un train de réformes, dont un nouveau code pénal, de nouvelles lois donnant "des perspectives de liberté" pour la presse et la société civile, ainsi que le lancement d’un dialogue sur une Constitution. " La Libye est à un carrefour. Soit nous nous entendons aujourd’hui sur des réformes, soit nous ne pleurerons pas 84 morts mais des milliers et il y aura des rivières de sang dans toute la Libye", a-t-il déclaré.
Il avait ajouté : «Je m'adresse à vous et pour la dernière fois avant de recourir aux armes», a-t-il mis en garde, estimant que la Libye n'était «pas la Tunisie ni l'Égypte». «Notre moral est au plus haut et le leader Mouammar Kadhafi, ici à Tripoli, conduit la bataille et nous le soutenons ainsi que nos forces armées (...) Nous ne lâcherons pas la Libye et nous combattrons jusqu'au dernier homme, jusqu'à la dernière femme et jusqu'à la dernière balle». Selon lui, les affrontements sont provoqués par des éléments libyens et étrangers visant à détruire l'unité du pays et instaurer une république islamiste.
Alors que son père, tenant à son régime aurait, selon des informations, engagé des «mercenaires africains» pour appuyer les forces locales les autorisant à utiliser des munitions interdites internationalement contre les manifestants.
Seïf Al-Islam Kadhafi est défini comme le chantre de la libéralisation économique et de l'évolution du régime par l'adoption d'une Constitution, il vient de faire tomber son masque pour se montrer dans son vrai visage d'un sanguinaire sans merci prêt à sacrifier le peuple libyen pour garder le trône libyen. Maintenant on devrait l'appeler la Honte de l'Islam et non plus Seïf Al-Islam
Voila des gestes qui vont finir par tremper le pays dans un holocauste cannibale indigne de la civilisation de notre ère car, les Kadhafi se croient encore dans les années 1969, année au cours de laquelle le père Mouammar avait, le premier septembre, organisé un coup d'État contre le roi Idris Ier et se fait proclamer colonel alors qu'il n'avait que le grade de capitaine.
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jeudi 17 février 2011

Ben Ali victime d’une attaque cérébrale serait dans le coma

Selon Nicolas Beau, journaliste français spécialiste de la Tunisie, Ben Ali vient d'être victime d'une attaque cérébrale et transporté d'urgence à l'hôpital de Djedda où il a été admis dans cet établissement réservé aux princes saoudiens sous une fausse identité. Son état est jugé "très inquiétant" d'après le journaliste cité plus haut. Il serait même plongé dans le coma, d'après la même source.
Le Président tunisien par intérim, Fouad Mebazaa, était au courant depuis deux jours de l'hospitalisation de Ben Ali. Par contre, son épouse, Leila Trabelsi, l'avait quitté pour la Lybie et ne se trouve donc pas à ses côtés, comme il se devait. Quelle triste histoire !
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dimanche 30 janvier 2011

Moubarak et le coup d'État "consenti"

En nommant deux militaires aux postes de vice-président et de premier ministre, le président égyptien tente de garder le contrôle, tout en cédant un immense pouvoir à l'armée.
Un autocoup d'État, comme l'a qualifié le journal français "Libération". Après avoir annoncé la démission du gouvernement, vendredi soir, le président égyptien a nommé, le lendemain, deux militaires pour reprendre la situation en main : Omar Sulaiman, chef des services de renseignements et l’homme le plus puissant du pays après le président est désigné au poste de vice-président et Ahmed Chafiq, ministre des Transports aériens et surtout ancien chef d'état-major de l'armée de l'air, est chargé pour sa part de former un nouveau gouvernement.

Il est à remarquer que ce nouveau vice-président avait reçu une formation à la John F. Kennedy School Special Warfare Center et à Fort Bragg, Caroline du Nord, dans les années 1980. Sulaiman continue d'avoir des contacts privilégiés avec les États-Unis avec des fonctionnaires et militaires des renseignements.
Pourront-ils redresser la situation? Omar Sulaiman, le nouveau vice-président, est un fidèle de Moubarak, il l'aurait sauvé à plusieurs reprises contre des tentatives d'attentats, alors qu'il était à la tête des services de renseignements. Il est surtout très connu des Israéliens et des Américains avec qui il est en liaison permanente sur les différentes questions régionales, en particulier le dossier palestinien. Il travaillait parallèlement avec la CIA et le MOSSAD et était agent de ces deux centrales bien connues.

Ahmed Chafiq, militaire de carrière, est lui aussi un grand fidèle de Moubarak.

Devant ces annonces, la foule des manifestants, très mécontente de ce défi de Moubarak et de la mort de plus d'une centaine de personnes, ne semble pas été satisfaite et continue à manifester et d'attaquer les bâtiments et les édifices publics et tous les symboles du régime.
Quant à Mohamed al-Baradeï, l'opposant assigné à résidence depuis vendredi, ne s'en satisfait pas non plus. Il semble bien, désormais, que seul le départ de Moubarak pourra mettre fin aux troubles, d'après ses déclarations à "Al Jazeera".
IL est à remarquer que la plupart des dictateurs des pays arabes reçoivent le soutien des puissances néocoloniales. Mais, ils sont vite désemparés ne sachant quoi faire dès que l'un des despotes est lâché par son peuple opprimé, car, la démocratie selon les occidentaux est de soutenir ces tyrans qui affament et terrorisent leur peuple ne cherchant qu'à garantir leurs intérêts comme l'avait souligné De Gaulle en affirmant qu'"Il n'y a pas de pays ami, il n'y a que des INTÉRÊTS communs."
Ce qui s'est passé et qui se passe actuellement en Égypte est presque une copie conforme à l'original. Un pouvoir dépassé, une police ne sachant pas faire régner le calme, appel à l'armée, mise à feu des édifices publics pour faire disparaître des documents importants, des vols et des destructions ainsi que la présence de "snippers" tirant sur des manifestants. Tout cela pour faire régner un climat de terreur et d'instabilité en essayant de faire croire que la tranquillité n'est possible qu'avec les dictateurs régnant depuis des décennies.  
On voit bien que beaucoup de similitudes dans les actions qui font penser à l'emploi des mêmes méthodes dictées par des organismes étrangers tels que la CIA ou le Mossad que ce soit en Tunisie ou en Égypte.
Les USA et Israël lâcheront tantôt Moubarak, c'est la raison pour laquelle je pense que M. Moubarak est entrain de préparer sa sortie afin de se réfugier rapidement dans un pays étranger comme ses deux enfants Alaa et Gamal Moubarak et leur famille qui auraient fui l’Égypte depuis le mardi 25 janvier et se seraient envolés vers la Grande Bretagne.
Aujourd'hui encore à 15h00, bravant le couvre-feu qui débute dans les grandes villes égyptiennes des milliers de manifestants défilent dans les rues. On constate même le survol du Caire par des avions de chasse et d'hélicoptères au dessus de la place Tahrir, dans le centre-ville de la capitale.

Que Dieu protège le peuple égyptien frère et qu'il l'aide à avoir sa liberté et sa dignité.

Synthèse et analyses d'Abdel Hakim ATEB

samedi 29 janvier 2011

Évènements en Égypte

En Égypte, des manifestations grandioses ont semé la panique depuis mardi 25 janvier. La police, souvent prise pour cible par les manifestants, était depuis vendredi absente du centre-ville.
On dénombre au moins 75 morts et des centaines de blessés, dont treize à Suez.

Il est à noter que, pour museler l'opposition, Moubarak a donné l'ordre pour débrancher Internet et les communications téléphoniques, ce qui a fait de l'Égypte un pays coupé du monde.

Ce matin, les services de téléphonie mobile reprennent partiellement mais Internet reste totalement coupé dans le pays. Il reste toutefois impossible d'envoyer des d'envoyer des SMS .
Ce samedi, les manifestants continuaient d'affluer vers le Caire où l'armée égyptienne, appelée vendredi en renfort de la police débordée par les manifestations, a pris position aux principaux carrefours et près des bâtiments officiels. Ils scandaient "Allahu Akbar!" (Dieu est le plus grand), "le peuple veut la chute du président", ou "Moubarak va-t-en", criaient des centaines de manifestants. Ils ont, semble-t-il, était très mécontents du discours prononcé, très tardivement hier dans la soirée, par le Président qui avait promis la formation d'un nouveau gouvernement dès samedi.
Mais cette intervention télévisée n'a visiblement pas convaincu les Égyptiens. De violents affrontements opposent la police aux émeutiers à Ismaïliya. La principale inconnue de la journée réside dans l'attitude que pourrait adopter l'armée. Le président doit annoncer, dans les heures qui viennent, un nouveau gouvernement.
Le roi Abdallah d'Arabie saoudite, qui se trouve actuellement en convalescence au Maroc, a appelé le président Hosni Moubarak pour condamner "les atteintes à la sécurité et la stabilité de l'Egypte" commises par certains éléments "infiltrés" au nom de la "liberté d'expression", a annoncé l'agence officielle saoudienne SPA.