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mercredi 30 mai 2012

On a élu François Hollande et non Bernard Henry Lévy

En effet, nous avons élu François Hollande à la tête de l’État français pour le changement. Ce changement est réputé être à tout les niveaux, y compris dans l’international, où les décisions doivent être prises sérieusement et avec intelligence pas comme avec son prédécesseur qui décide avec arrogance et suivisme voire allégeance aux États-Unis.
Pour sa première prestation télévisée depuis son investiture, le chef de l’État français a pour la première fois évoqué sur Antenne 2 le scénario d'une intervention militaire en Syrie. « Une intervention armée n'est pas exclue à condition qu'elle se fasse dans le respect du droit international, c'est-à-dire par une délibération du Conseil de sécurité », a estimé François Hollande.
« A moi, à d'autres, de convaincre Russes et Chinois de ne pas y mettre leur veto », a-t-il ajouté à trois jours de sa première rencontre à Paris avec le président russe Vladimir Poutine. "C'est lui pour l'instant, avec la Chine, qui est le plus en retrait par rapport à ces questions de sanctions. Eh bien, nous devons le convaincre que ce n'est pas possible de laisser le régime de Bachar el Assad massacrer son propre peuple", a ajouté François Hollande.
Le chef de l'État français n'a toutefois pas caché sa préférence pour une "autre solution". A ce titre, il s'est prononcé pour des sanctions "beaucoup plus dures" à l'endroit du régime de Bachar al-Assad et insisté sur la nécessité de "solidariser l'opposition" syrienne.
Ceci dit, l’ancien RVP de Sarkozy auprès de la Libye s’est manifesté pour conseiller au Président français d’agir militairement en Syrie alors que même les États-Unis ne pensent pas qu'une intervention militaire soit la décision appropriée pour le moment contrairement à ce que réclame l'opposition sur place. La Maison Blanche estime que cela conduirait à davantage de chaos et de carnages mais n'exclut aucune option, y compris une intervention militaire.
De quoi je me mêle ?
Au mois de juillet 2011, des opposants syriens avaient déjà rejeté le soutien encombrant de BHL. Craignant que Damas n’exploite cette « récupération », ils avaient appelé au boycott du philosophe, « ennemi des droits des Palestiniens ».
Invitées à participer à un meeting organisé par la revue La Règle du jeu de Bernard-Henri Lévy, lundi 4 juillet à Paris, plusieurs personnalités représentatives de l'opposition syrienne à l'étranger, avaient renoncé publiquement à leur présence à cette manifestation. « Car le message de soutien aurait pu être entendu si l'identité du messager n'était pas si problématique, » selon l'un d'entre eux.
« Celui qui se fait l'ennemi des droits d'un peuple ne peut prétendre soutenir une révolution fondée sur les mêmes droits », écrivait Suhair Atassi, figure emblématique de l'opposition de l'intérieur depuis sa cachette syrienne.
Dans un texte diffusé par ses amis, elle « appelle les Syriens qui ont accepté de participer à la conférence de Paris lundi, organisée avec l'appui dudit Comité pour le salut de la Syrie, mis en place par Bernard-Henry Lévy, à se retirer et à déclarer publiquement leur retrait »..
Malgré leur difficile combat pour la liberté dans leur pays, les opposants syriens ne transigent pas sur certains principes. Rejetant le « scénario libyen », ils sont hostiles à ce qu'ils considèrent comme une récupération de leur cause par BHL et certains de ses amis qui ont souvent affiché un soutien actif à Israël.
Suhair Atassi rappellait :
« Bernard-Henri Lévy a considéré les enfants tués à Gaza comme des “ dommages inévitables de la guerre contre le terrorisme ” et en réponse au massacre dans le camp de réfugiés de Jénine en 2002, il avait visité le camp à bord d'un char israélien et la presse avait publié ses photos et sa déclaration selon laquelle : “ L'armée israélienne est l'armée la plus humaine de l'histoire moderne.”
A quel titre vient-il maintenant soutenir une révolution pour la liberté. ? ». Alors M. le philosophe aigri du combat épargnez aux Syriens votre soutien !
D’ailleurs des universitaires comme Burhan Ghalioun, écrivain, professeur à la Sorbonne, Subhi Hadidi, écrivain et journaliste, et Farouk Mardam Bey, éditeur ont considéré déjà les initatives de BHL comme : « Des manœuvres sordides qui visent à détourner l'opposition démocratique syrienne de ses objectifs et portent atteinte à sa crédibilité devant son peuple. »
Il ne faut pas oublier non plus qu’une confrontation armée peut mener embraser la région. "Le Hezbollah n'interviendra jamais en Syrie. Il s'agit d'une affaire intérieure pour le président Bachar. Mais, quand il voit l'Occident s'en mêler pour le renverser, il ne peut pas se contenter du rôle de spectateur", expliquait un jour un responsable libanais.
Contrairement à BHL qui veut mettre le feu dans cette région, je me permets d’appeler M. Hollande d’agir prudemment avec intelligence et respect des peuples de choisir leur destin sans mettre notre pays dans l’aventure d’une guerre compliquée et dont l’issue pourrait être destructrice du peuple civil syrien comme ce fut le cas en Libye. Alors de grâce, M. le Président, soyez cohérent et évitez cette ingérence et ne suivez pas les conseils diaboliques de ce monsieur qui vous incite à « introduire au Conseil de sécurité une résolution autorisant le bombardement des tanks positionnés à l'extérieur des villes, en position de tir ». La paix doit être préservée au Proche-Orient.

lundi 7 mai 2012

Sarkozy et Hollande, les ennuis commencent maintenant

Le 6 mai, la France a changé de visage, mais l’Europe aussi va le faire. En élisant François Hollande Président de la République, les Français ont démontré leur désir de changer, non seulement de président, mais du mode de gouverner autrement. M. Hollande, je vous présente mes sincères félicitations.
François Hollande, avec 51,57% des voix face à Nicolas Sarkozy (48,33%), est devenu ainsi le 7e Président de la Ve République. Il y a beaucoup de joie et de bonheur ressentis par les Français à l’issue de ce scrutin, mais aussi l'appréhension des responsabilités qui attendent le nouveau locataire de l’Élysée. L’évènement        a été salué partout dans le monde. Hugo Chavez, le président vénézuélien, qui a félicité François Hollande pour «sa nette victoire» de la présidentielle française soulignait : « le peuple français a réaffirmé sa profonde vocation républicaine, qui fait primer la volonté politique sur la fatalité des marchés, la sensibilité sociale sur les recettes financières, et la justice et la solidarité sur l'exclusion ».
1.    Les ennuis de François Hollande
Entouré de sa compagne, Valérie Trierweiler, la nouvelle première dame et de son équipe de campagne et des ténors socialistes, François Hollande s'est exprimé depuis la tribune à Tulle puis à la Bastille pour dire : «Merci à tous. Soyez heureux, soyez fiers, soyez généreux. Soyez fiers d'être des citoyens françaisM. Sapin, très proche de François Hollande, juge que le nouveau président élu François Hollande n'aura pas «d'état de grâce» comme François Mitterrand en 1981 parce que la situation de la France est «beaucoup plus difficile du point de vue économique». «On compare souvent à mai 1981. Il y a des aspects qui sont comparables, le fait que pendant longtemps il n'y ait pas eu de président de gauche (...) et en même temps la situation est totalement incomparable, c'est une situation beaucoup plus difficile du point de vue économique», souligne-t-il sur Canal +. Selon lui, «le mot d'état de grâce ne s'applique pas à la situation, la réalité est au-delà de ça».
Ainsi, après une soirée de fête partout dans le pays, la politique reprend ses droits. Le nouveau président socialiste va devoir se lancer dans la formation d'un gouvernement pour préparer les législatives et disposer de la majorité la plus large possible pour pouvoir diriger la France et appliquer le programme qu’il défendait, comme l’avait précisé d’ailleurs Mme Ségolène Royal : «Les Français vont donner au gouvernement une majorité pour accomplir les réformes». «Les Français ne veulent plus de cet esprit de revanche. Ils ne veulent plus de pagaille. Et donc ils vont donner au gouvernement qui sera mise en place une majorité pour pouvoir faire ces réformes. Ils sont cohérents, ils sont simples. Et ils vont donner toutes ces chances au nouveau président et au nouveau gouvernement» affirme Ségolène Royal.
Le pays a besoin de réconciliation, de redressement dans la justice et de pouvoir sortir de la crise qu’il traverse pour donner de l’espoir aux citoyens. C’est le devoir du nouveau Président qui doit réaliser ces objectifs, car pour lui les ennuis commencent dès maintenant.
2.    Les ennuis de Nicolas Sarkozy
Quant à Nicolas Sarkozy, victime de son acharnement contre les immigrés et de son adhésion aux thèses de l’extrême droite. D’ailleurs le Front National conseille aux électeurs de l’UMP à rejoindre ce parti extrémiste pour en former une unité.
De l’autre côté, Nicolas Sarkozy, doit aussi se préparer à rendre des comptes notamment sur les affaires qui semblent se préciser, si l’on croit les dernières informations sur la question du financement de sa campagne de 2007.
En effet, des avocats tunisiens de la défense de l’ex-Premier ministre libyen ont en effet affirmé que cette affaire avait été évoquée devant une cour d'appel tunisienne le 25 octobre 2011. «La question a été posée devant un juge à l'ex-Premier ministre libyen et sa réponse affirmative figure dans un procès-verbal judiciaire, a assuré l'avocat qui avait posé la question, Slim Ben Othman. Al-Mahmoudi avait alors indiqué qu'une enveloppe de 50 millions d'euros a été remise par lui-même aux mains d'envoyés de Sarkozy à Genève». «Des documents attestant de l'opération ont été copiés et déposés dans plusieurs capitales européennes», précise l'avocat en affirmant que son client craignait une liquidation physique.
Alors que Nicolas Sarkozy a utilisé le terme d'«infamie» pour qualifier ces accusations. «Qui croit à de pareilles fadaises?», s'est interrogé le président-candidat.

lundi 30 avril 2012

M. Sarkozy avait promis en 2007 de dire la vérité


Financement de la campagne 2007
Dans un article que j’avais publié le Jeudi 17 mars 2011, intitulé «Pourquoi Sarkozy est-il si pressé pour agir en Libye ? » Lire l'article : http://librepol.over-blog.com/article-sarkozy-est-presse-d-intervenir-en-libye-69506299.html, j’avais écris «Alors que les grandes puissances ont écarté l'option militaire, le président français persiste et semble très pressé pour agir. Nicolas Sarkozy a appelé les membres du Conseil de sécurité de l'ONU à «soutenir» l'appel de la Ligue arabe en faveur d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye pour soi-disant : « sauver le peuple libyen martyrisé », ou bien,, d'après les déclarations de Seif Al-Islam Kadhafi, qui aurait répondu lors d'un entretien avec un journaliste d'Euronews : «Tout d’abord, il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale». Il avait ainsi affirmé : «C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. La première chose que l’on demande à ce clown, c’est de rendre l’argent au peuple libyen. Nous lui avons accordé une aide afin qu’il œuvre pour le peuple libyen, mais il nous a déçus». Il menace ensuite : «Rendez-nous notre argent. Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement». Mais, l'Élysée a aussitôt démenti cette déclaration et Nicolas Sarkozy avait même déclaré que Kadhafi était «devenu fou», ajoutant qu' «Il souffre d'une maladie psychique».
Mais voila que le site Mediapart, relançant à nouveau cette information,  a publié samedi ce qu'il présente comme une note datant de 2006 des services secrets libyens dans laquelle le régime libyen déclarerait avoir choisi d'appuyer la campagne de Nicolas Sarkozy pour un "montant de cinquante millions d'euros".
Aussitôt, le candidat de l’UMP à la présidence qualifie de tous les noms Mediapart et accusé la gauche d'user de "boules puantes" pour déstabiliser le camp présidentiel avant le second tour de l'élection présidentielle.
Celui qui était cité dans cette information, Bachir Saleh, identifié sous le nom de Bashir Al-Shrkawi, né en 1946 à Agadez, au Niger, de nationalité libyenne, qui a démenti avoir été destinataire d'une note citée par Mediapart à propos d'un soutien libyen à la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, est recherché par Interpol pour fraude et se trouve actuellement, paraît -il, en France suivant la déclaration de son avocat, Me Pierre Haïk, confirmant à l'AFP une information déjà publiée début avril par le Canard Enchaîné.
Le Niger lui aurait délivré un passeport "sur le conseil et la pression d'un pays européen" avant de l'annuler, avait déclaré en mars un haut responsable militaire nigérien, le colonel Djibou Tahirou, à l'AFP en refusant de révéler le nom de ce pays européen. Le passeport "disait qu'il était un conseiller (politique) bien qu'il n'ait jamais été" conseiller du gouvernement du Niger, a souligné le responsable nigérien. Il était connu sous le nom de Bashir Al-Shrkawi.
A Paris, le ministère de l'Intérieur n'a pu être joint pour confirmer cette présence en France de Bachir Saleh et son statut. Même François Fillon a indiqué lundi sur RTL qu'il n'y avait "aucune trace d'un mandat international" visant l'ex-dignitaire libyen proche du colonel Kadhafi.
M. Fillon a en outre expliqué que M. Saleh disposait d'un "passeport diplomatique du Niger" et qu'"à ce titre, il est protégé par l'immunité diplomatique". D'après M. Fillon, Bachir Saleh "fait actuellement des allers et retours entre la France et le Niger".
"Si naturellement il y avait un mandat international contre lui, la France le remettrait à la disposition de la justice après un échange avec le Niger qui est nécessaire compte tenu de son état de diplomate", a précisé M. Fillon. Il ajoutait : "Si M. Plenel a des documents, qu'il les remette à la justice!", dénonçant une "manipulation". Dimanche déjà, il avait qualifié Mediapart d'"officine financée par de riches amis" de François Hollande.
Or, selon le document publié par Mediapart, ont participé à cette réunion "le directeur des services de renseignements libyens (Abdallah Senoussi, ex-chef du renseignement militaire et beau-frère de Kadhafi actuellement détenu en Mauritanie, ndlr) et le président du Fonds Libyen des investissements africains (Bachir Saleh, ndlr), et du côté français M. Brice Hortefeux et M. Ziad Takieddine".
La note était signée par Moussa Koussa, ex-chef des services de renseignements extérieurs de la Libye qui vit en exil à Doha, aurait qualifié dimanche de faux la note révélée par le site français d'information Mediapart sur un financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. "Toutes ces histoires sont falsifiées", aurait déclaré M. Koussa, sur la note publiée samedi par Mediapart et portant sa signature. Quant à l'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine, mis en examen dans le volet financier du dossier Karachi, a dit reconnaître la signature de M. Koussa sur le document mais a admis qu'il n'avait "pas assisté à cette réunion".
Quant à Nicolas Sarkozy, il a annoncé ce lundi son intention de porter plainte cette semaine contre le site d'informations Mediapart à la suite d'informations, qu'il dément formellement, sur un soutien financier présumé de la Libye de Mouammar Kadhafi lors de sa campagne présidentielle de 2007. Il déclarait : "Nous déposerons plainte contre Mediapart" avant d’ajouter : "Ce document est un faux grossier (...) tout simplement parce que les deux personnes en Libye censées avoir envoyé ce document et le recevoir l'ont démenti", a-t-il dit. "Vous croyez vraiment qu'avec ce que je lui ai fait, M. Kadhafi m'a fait un virement ? Pourquoi pas un chèque endossé, c'est grotesque", a-t-il encore précisé.
Nicolas Sarkozy vient de reconnaitre avoir fait beaucoup de mal à Kadhafi. Pourquoi ? Peut-être pour défendre lers civils libyens, comme il prétendait. Ou alors ????
Il faut se rappeler qu’il avait dit, pour exiger à sa façon le départ de Kadhafi, de prendre la décision d’une action militaire même sans mandat de l'Onu malgré le désaccord de certains pays de l'UE. Cette éventualité unilatérale était prise après que le Président Sarkozy, qualifié de "super-Rambo", ait rencontré Bernard-Henri Lévy et deux émissaires du Conseil national de transition libyen.
M. le candidat-président, je vous rappelle que dans votre lettre ouverte aux français écrite en 2007, vous aviez promis, « je ne vous trahirai pas, je ne vous mentirai, pas, je ne vous décevrai pas ». Alors, on attend réellement à ce que vous teniez votre promesse et que vous nous dites la vérité. Cela peut agir sur notre décision du vote du 6 mai.

mardi 17 avril 2012

Un ministre de Sarkozy emploierait illégalement une sans papiers


La « Sarkoland » en marche pour un nouveau mandat
Le 2 avril dernier, dans une émission sur Canal+, on a appris qu’un ministre emploierait une femme de ménage mauricienne en situation irrégulière sans contrat de travail. L'information est révélée dans le documentaire « Les Sans-papiers de la République ».
Cette affaire est tout le symbole de la « Sarkozyland » où chacun se croit être au dessus des lois.
Absurdité de la situation: il paraît que des démarches ont été faites et que la Mauricienne vient d'obtenir de la préfecture un récépissé la protégeant contre toute expulsion, tout en lui interdisant de travailler.
Ainsi la devise de l’UMP « Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais!" a été réactualisée.
Le Ministre mis en cause par cette affaire a dénoncé quant à lui une "manipulation grossière dont on voit bien la finalité, à une semaine de la présidentielle". Il est très simple de commenter ainsi cette lamentable situation et de se mettre à l’abri alors que des sanctions contre l’emploi des sans-papiers étaient annoncées avec même des sanctions pénales pour les entreprises impliquées dans le travail illégal des étrangers.

jeudi 15 mars 2012

Pourquoi je souhaite l’élection de François Hollande à la Présidence de la France

Le Changement, c’est maintenant
Évidemment étant libre politiquement, donc ne dépendant plus d’aucun parti, comme signalé par ailleurs, je suis convaincu que le candidat François Hollande porte le mieux les idéaux auxquels je crois.
Ses idées de faire de la France un pays où la solidarité devient un principe primordial d’une société multiculturelle est la seule possibilité d’enrichir le pays et de maitriser les déficits tant culturels que financiers.
Il a placé la tolérance, la solidarité et la fraternité entre les citoyens qui le composent abolissant ainsi toute idée de discrimination, d’exclusion, de haine et de mépris qu’agitent certains candidats. Comme moi, il considère et milite pour l'égalité des chances, des droits et devoirs. Il est le candidat de la cohérence, de la constance, de la confiance, de la solidarité, de l’éradication des inégalités et de l’insupportable injustice et de la brutalité des ségrégations.
En parcourant son programme je me retrouve bien dans mes aspirations, quoique certains points méritent d’être mieux traités.
Mon choix est ainsi basé sur le programme Hollande qui traite des principales préoccupations des Français contrairement à celui de son principal adversaire qui repose sur un « copier-coller » des propositions qu’il avait faites en 2007 ou qui nous présente des idées ultra-lepénistes pour se faire rallier les voix du Parti de l’extrême droite. Le candidat sortant confirme en effet à chaque déclaration son sens donné à sa candidature : la caricature, l'impuissance et l'agressivité.
Merci de donner votre intention de vote en cliquant sur le lien suivant :

jeudi 9 février 2012

Origine de Ksibet El Médiouni

  Histoire de Ksibet El Médiouni

Les origines de Ksibet El Médiouni, d'après certaines sources, remontent à l'établissement d'un poste d'observation par les Almohades, « Ksibah, diminutif de Kasbah », destiné à surveiller l'incursion des chrétiens sur cette partie de la côte tunisienne.
D’après « Ibn Khaldoun » Mohamed Ben Abdallah El Médiouni ou Sidi El-Médiouni, serait originaire de « Médiouna » ville située dans la région du « Djebel Amour » au Maroc.
Il aurait vécu entre le XVIe et le XVIIe siècle et était le vrai saint fondateur de la ville de Ksibet El Médiouni. D’autres sources indiquent qu’il était venu en Tunisie chargé d’une mission militaire et lorsqu’il l’a termina, aurait voulu s’y installer définitivement dans ce pays.
On raconte qu’il s’était installé au début dans la ville de Béja puis serait venu dans la ville de Khniss pour s'y établir. Mais les habitants de cette localité, qui n’ont pas deviné la sainteté du personnage aux allures de gueux, le chassèrent durement à coups de pierre et l'accompagnèrent jusqu'à la sortie de leur village. Très mécontent et n'ayant pas apprécié ce comportement, il avait alors pris la direction du sud en maudissant les habitants de Khniss leur souhaitant la maladie des yeux. J'irais loin, disait-il, de cette ville jusqu'à ce que je n'entende plus le "Moethen de Bhiss", surnom qu'il avait donné à ce village. Après avoir parcouru une distance suffisante en compagnie de sa sœur et de son mulet, il s'arrêta sur une colline surplombant la mer pour y installer son quartier et construire une mosquée.
Résolu de se retirer en ermite, il chargea sa mule de pierres et demanda à sa sœur de suivre l’animal et de le décharger là il s’arrêterait. Le mulet s’est arrêté près d’un fourré épais, véritable maquis de roseaux habité par un lion.
De retour auprès de son frère, la jeune femme l’avertit de ce qu’il advint.
Le saint personnage s’est dirigé vers les lieux et, s’adressant au lion, lui dit : « Pars ou je pars ». Le fauve s’est alors retiré pour laisser la place au saint et l’endroit est depuis appelé « Les petits roseaux d’El Médiouni »
Cette colline est devenue depuis Ksibet El Médiouni. Aujourd’hui, cette ville, n’est plus qu’à 4 kilomètres de Khniss.
Il semble que tous les originaires de cette ville magnifique sont les descendants du Saint Sidi El Médiouni. On dit qu'ils sont tous "Ouled El Médiouni" et sont ainsi ses héritiers.
Mais, certaines sources laissent entendre que les principaux descendants du Saint homme étaient les familles de « Mohamed El Madani » « Mouldi » « Abdelkader » et les « Brachnia ». Beaucoup d’autres descendances se sont suivies de ces grandes familles.
Sidi El Médiouni repose sous sa coupole de briques creuses et les oriflammes qui décorent son catafalque non loin du tombeau de « Lella El Ariana » (la sainte vierge nue).
Adel Hakim ATEB (D'après certaines sources)
Les Photos proviennent de recherches sur Internet. Merci à leurs auteurs


lundi 20 juin 2011

Le Livre de poésie de Valérie vient de paraître

Un livre de poésie sous le pseudonyme de "Lise Anne" vient de paraître aux "Éditions Amalthée". Il s'agit d'un premier ouvrage intitulé :

Autopsie d'une Vie
Autopsie d’une vie car, tout comme pour une autopsie médicale, Lise Anne tente d’analyser, de décortiquer, les événements, les phénomènes de société, l’affectif …    auxquels l’on peut être confronté tout au long d’une vie.
Les sentiments sont comme un vent qui nous transperce. Ils peuvent nous bousculer, nous faire trembler et parfois nous faire tomber. Mais ils sont également un rappel perpétuel de la vie. Affronter ses sentiments, c’est se donner les armes pour l’avenir.
Lise Anne est née et a grandi dans une petite ville du Nord. Mère au foyer mais également jeune grand-mère depuis peu, elle fut une enfant réservée, sensible, la tête dans les nuages … qui aime profondément la nature. L’écriture lui permet d’extérioriser sa sensibilité.
Voila comment l'auteur de ce merveilleux premier ouvrage se présente. Mais, tellement elle est timide, qu'elle a omis, étant hésitante et réservée, de signer son œuvre sous ses vrais noms et prénoms.
Bravo Lise Anne Valérie ATEB, née BROCART. Je suis fier de t'avoir comme belle-fille.